top of page
Sans titre.png

Un pont d’amitié pour partir à la découverte de l’encre japonaise 
 
En octobre 2013, le « peintre-encrier » normand Darius jetait un Pont d’encre (exposition éponyme) entre Caen et Tokyo en invitant des artistes japonais à exposer leurs œuvres dans la capitale normande.  
En juin 2018, lui-même répondait à l’invitation de la commune de Saint-Rémy dans le cadre de l’ouverture du Centre culturel Les Fosses d’enfer. Son exposition, qui regroupait plus de 70 encres, y fut visible tout l’été et reçut un bel accueil de la part d’un public nombreux qui poussa la porte de ce tout nouveau lieu culturel. 


 

Son histoire avec l’encre débute au Japon à la fin des années 2000 lorsqu’il voit des calligraphies. Il fut impressionné par les infinies possibilités qu’offre l’encre de Chine, nommée sumi au Japon. Depuis, il ne cesse depuis de les expérimenter, nourri notamment par ses rencontres avec des artistes japonais. Depuis 2009, il est membre-invité de deux groupes de peintres japonais dont le collectif SUMIETEN de la région de Tokyo (sumiarttoday.com) avec lequel il participe, chaque année, à des expositions collectives dans des galeries tokyoïtes. C’est donc tout naturellement qu’il proposa à l’équipe des Fosses d’enfer d’accueillir, en 2019, une exposition qui regrouperait le travail de quatre artistes japonais issus de ce groupe. Et de donner ainsi une occasion unique au public de découvrir le sumi, l’encre japonaise, au travers de leurs travaux. Ces quatre artistes explorent des traditions ancestrales - sumi, suibokuga - ou plus récente - rimpa - pour mieux les réinventer. Trois femmes, Keiko Araï, Haruko Katayama, Chikako Yokoyama, et un homme, Kyo Washida, ont accepté l’invitation et seront présents, quelques jours de juin, à SaintRémy pour accrocher leurs toiles et installations et accueillir le public à l’occasion du vernissage de l’exposition le 29 juin en après-midi.  

bottom of page